European Research Council

Neoplatonism and Abrahamic Traditions (9th-16th Centuries)

Description and organization

A Comparative Analysis of the Middle East, Byzantium and the Latin West (9th-16th Centuries) – NeoplAT

(ERC Consolidator Grant hosted by University College Dublin and The Austrian Academy of Science in Vienna).

Contact

(Text by the organizers)

Link

https://www.neoplat.eu/

École Pratique des Hautes Études

Didaskalos

Description et organisation

Le projet Didaskalos « Alexandre d’Aphrodise et la métaphysique aristotélicienne. Contextes, Enjeux, Réception » a été sélectionné en 2013 par l’ANR en tant que Programme blanc national. Il porte sur le Commentaire à la Métaphysique d’Alexandre d’Aphrodise, sur son herméneutique et, plus généralement, sur la philosophie de son époque (IIème s.-IIIème s. ap. J.-C.). Il a pour objectifs : de publier la première traduction en français des cinq livres conservés du Commentaire à la Métaphysique d’Alexandre d’Aphrodise, de mettre à la disposition des chercheurs des outils numériques permettant d’étudier l’herméneutique alexandrinienne et le vocabulaire philosophique des IIème s. et IIIème s., de fédérer et promouvoir les recherches portant sur Alexandre, son époque et sa réception. Le projet s’intitule « Didaskalos » en référence à la fonction qu’occupe Alexandre à la fin du IIème s. de notre ère : professeur, détenteur de la chaire impériale de philosophie aristotélicienne d’Athènes.

(Texte des organisateurs)

Lien

https://didaskalos.hypotheses.org/le-projet

Coptica

Textes Coptes et Documents

Description et organisation

Le site personnel COPTICA, initialement destiné aux étudiants en égyptologie de l’Université de Genève, s’adresse aux amateurs de  langue égyptienne  et de  littérature copte. Les uns y trouveront les textes et indices nécessaires à la poursuite de leur cursus universitaire ainsi que des liens essentiels. Les autres y trouveront informations et outils de travail.

(Texte des organisateurs)

Lien

https://www.coptica.ch

KU Leuven

Trimegistos

Description and organization

An interdisciplinary portal of papyrological and epigraphical resources formerly Egypt and the Nile valley (800 BC-AD 800), now expanding to the Ancient World in general.

(Text by the organizers)

Link

https://www.trismegistos.org/

EquipEx Biblissima+

Biblissima – Bibliotheca bibliothecarum novissima

Description et organisation

Équipement d’excellence, Biblissima fédère et structure un ensemble de corpus numériques de données scientifiques sur l’histoire de la circulation des textes en Occident du Moyen Âge à la fin de l’Ancien Régime.

Biblissima – Bibliotheca bibliothecarum novissima – est porté par l’établissement public Campus Condorcet et piloté par Anne-Marie Turcan-Verkerk, directrice d’études à l’EPHE. Il fait partie des 36 Équipements d’excellence sélectionnés à la fin 2011 par un jury international.

Observatoire du patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance, Biblissima s’intéresse aux documents écrits dans les principales langues de culture de l’Europe médiévale et renaissante (arabe, français, grec, hébreu, latin, syriaque…). Il contribue à une meilleure connaissance de la circulation des textes, du devenir des bibliothèques et de la transmission des savoirs en Europe du 8e au 18e siècle, grâce à un portail unique donnant accès de façon simple et coordonnée à une très vaste documentation sur les manuscrits et les imprimés anciens, leurs possesseurs et leurs lecteurs successifs.

Outre sa fonction au service de la recherche, Biblissima participe d’une démarche de diffusion des savoirs sur le patrimoine écrit, à l’intention du plus vaste public.

Le programme s’articule en deux volets principaux :

  1. l’observatoire (les outils) ;
  2. les corpus de données scientifiques (les contenus).

(Texte des organisateurs)

Lien

https://biblissima.fr/

Greek Index Project

Pinakes

Description et organisation

Pinakes a pour objet principal le recensement de tous les textes grecs, des origines à la fin du XVIe siècle, contenus dans les manuscrits décrits dans les catalogues imprimés de bibliothèques à l’exception des papyrus. Les manuscrits sont retenus sans limite de date.

À l’origine, la base a été constituée au Pontifical Institute of Mediaeval Studies de Toronto et portait le nom de Greek Index Project (GIP). L’entreprise a été menée à bien par Walter M. Hayes de 1971 à 1985 et poursuivie par Robert E. Sinkewicz de 1987 à 1992. Trois séries de microfiches ont été publiées à Toronto entre 1989 et 1992. En 1986, un document décrivant le Greek Index Project, sa méthode, son contenu et son informatisation, avait été rédigé à Toronto ; il fournit des informations importantes pour comprendre l’état actuel de la base de données, ses limites et son contenu.

En 1993, le programme a été confié à la Section grecque de l’Institut de Recherche et d’Histoire des Textes (CNRS UPR 841, Paris), qui en assure la gestion et continue à l’enrichir. La base a reçu le nom de Pinakes en souvenir du premier catalogue des auteurs grecs, dressé par Callimaque de Cyrène, à la bibliothèque d’Alexandrie, au IIIe siècle avant J.-C.

Après plusieurs changements de logiciels et la rénovation complète de sa structure, la base est en ligne depuis le mois de juillet 2008.

Au moment de sa mise en ligne en 2008, la base Pinakes compte 200.000 fiches ; elle recense les témoins de la tradition manuscrite de 13.000 œuvres, soit près de 40.000 manuscrits conservés dans 1.300 bibliothèques du monde entier.

Les informations données par Pinakes sont délibérément concises et succinctes. La base indique les auteurs et les œuvres contenus dans les manuscrits, les données chronologiques (siècle, éventuellement date) proposées par le catalogue saisi, mais ne retient de leur description codicologique et paléographique que les rubriques susceptibles de modifier l’appréciation portée sur le texte. En aucun cas, la base ne dispense du recours aux catalogues et répertoires, et plus généralement d’une vérification sur les sources elles-mêmes. La source utilisée est indiquée lorsque la saisie a été effectuée à Paris ; pour Toronto, ces informations sont manquantes : il faut supposer, dans la plupart des cas, qu’elles proviennent du catalogue principal pour le fond concerné.

Pinakes ne peut encore fournir au chercheur une liste exhaustive des témoins manuscrits de l’œuvre à laquelle il s’intéresse, ne serait-ce que parce que tous les fonds n’ont pas encore été décrits, ou que certains l’ont été de façon trop sommaire. En outre, les introductions des éditions critiques ne sont généralement pas utilisées. Mais le recours à cette base permet de dresser rapidement une première liste de manuscrits contenant le texte étudié. Dans tous les cas, il convient de vérifier et de compléter, à l’aide des catalogues correspondants, les données obtenues par la consultation de la base.

Les utilisateurs de la base Pinakes sont invités à signaler à la Section grecque les erreurs et manques qu’ils auront pu repérer au cours de leurs travaux ; l’IRHT sera heureux de recevoir un exemplaire des publications pour lesquelles les données de la base ont été utilisées.

La section grecque s’emploie à supprimer les erreurs et les incohérences en menant des programmes de révision pour uniformiser les niveaux de description, éliminer les entrées imprécises, qu’il s’agisse de noms d’auteurs, de titres d’œuvres ou de cotes de manuscrits.

En cours : mise à jour et révision systématique des cotes des différents fonds.

(Texte des organisateurs)

Lien

https://pinakes.irht.cnrs.fr/

Duke University

Papyri.info

Description and organization

Prototype: Under leadership of Roger Bagnall and with funding from the Andrew W. Mellon Foundation and the National Endowment for the Humanities, in 2006/07, Columbia University Libraries developed specifications for a ‘Papyrological Navigator,’ (PN) in order to demonstrate that multiple digital papyrological resources could be co-displayed in a scholarly web resource. In the following year a prototype PN was released. In 2007/08, with further support from the Mellon Foundation, a Duke-led team launched ‘Integrating Digital Papyrology’, whose three phases ran through 2012. The goals were to migrate the DDbDP from SGML to TEI EpiDoc XML, and from betacode to Unicode; to map DDbDP texts and HGV metadata to corresponding APIS images and catalog records, and to convert both HGV and APIS data to EpiDoc; to enhance the Papyrological Navigator; to create a version controlled, transparent and auditable, multi-author, web-based, real-time, tag-lite, editing environment, which–in tandem with a new editorial infrastructure–would allow the entire community of papyrologists to take editorial control of core disciplinary data. In 2009 the new PN and Papyrological Editor (PE) were moved to NYU’s Institute for the Study of the Ancient World, which was the seat of production until July 2013.

Release: In 2010 the new papyri.info was released to production (see J. Sosin’s presentation to the 26th Intl Papyrological Congress), featuring the new PE and a completely redesigned PN.

Stewardship: In July 2013 the Duke University Libraries, again with the generous support of the Mellon Foundation, launched the Duke Collaboratory for Classics Computing (DC3), a digital classics unit embedded in the Libraries. A core part of their mission is the maintenance and enhancement of the papyri.info toolset and community.

Moving Parts: See the top level data flow. The PN supports browse and faceted search of the constellation of papyri.info resources. It relies on an RDF triple store (Apache Jena) to manage the relationships between documents from different sources and Apache Solr for its search and faceting capabilities. The PE (1) allows users to add new or change existing ‘publications’ in the PN, edit the EpiDoc, either via database-style form (for APIS, HGV, BP) or proxy EpiDoc syntax called Leiden+ (for DDbDP), (2) enables submission of all such edits to peer review, which may result in commission of such to the canonical repository, and (3) provides transparent version-control (via git) of all such edits, system-wide. This bundle of services is referred to as Son of Suda on Line (SoSOL), in homage to the Suda On Line project and our colleague Ross Scaife.

(Text by the organizers)

Link

http://papyri.info

Berlin-Brandenburg Academy of Sciences and Humanities

The Thesaurus Linguae Aegyptiae on the Internet

Description and organization

The Thesaurus Linguae Aegyptiae is a publication platform made available on the Internet by the Project Structure and Transformation in the Vocabulary of the Egyptian Language (former Ancient Egyptian Dictionary Project) at the Berlin-Brandenburg Academy of Sciences and Humanities. Within the Thesaurus, a digital corpus of Egyptian (including Demotic) texts have been released to the public for computer-assisted search. Lemmatization and morpho-syntactic annotation of the text material allow for specific research from lexical, philological, linguistic, and historico-cultural points of view. All texts come with running translations to assist particularly non-specialists and scholars of neighbouring disciplines in their work.
The digital text corpus, forming the substance of this information system, is the result of years of ongoing cooperation among several projects, and will continue developing on this basis. Contributions have been made by the Project Structure and Transformation in the Vocabulary of the Egyptian Language (former Ancient Egyptian Dictionary Project) at the Berlin-Brandenburg Academy of Sciences and Humanities and the Saxonian Academy of Sciences ans Humanities in Leipzi. The now finished projects Demotic Text Database Project of the Academy of Sciences and Literature Mainz (Wuerzburg branch), Book of the Dead Project of the North Rhine-Westphalian Academy of Sciences, Humanities and the Arts (Bonn) and « Digital Heka » has been involved from the very beginning. Since 2005, the Leuven Online Index of Ptolemaic and Roman Hieroglyphic Texts Project of the Katholieke Universiteit Leuven has been involved. Since October 2012 texts of the Horus temple of the Edfu Project have been integrated. This cooperation was promoted by the Göttingen Academy of Sciences. The origin and concept of this Internet publication have largely been informed by this cooperation. It is the purpose of the Thesaurus Linguae Aegyptiae to make available, in the form of a virtual dictionary, a new and, within Egyptology novel, tool for lexicographic research into the Egyptian language. In this sense, the project closely follows both purpose and method of the comprehensive Wörterbuch der ägyptischen Sprache, which Adolf Erman inaugurated at the Prussian Academy of Sciences in 1897, making it a success story. As a token of admiration for this outstanding researcher, not least in the field of Egyptian lexicography, the Thesaurus Linguae Aegyptiae was first released for general use on 31 October 2004 – the 150th birth anniversary of Adolf Erman

(Text by the organizers)

Link

https://aaew.bbaw.de/tla/

National Endowment for the Humanities

Coptic Scriptorium

Description and organization

Coptic SCRIPTORIUM (Sahidic Corpus Research: Internet Platform for Interdisciplinary multilayer Methods) is a collaborative, digital project created by Caroline T. Schroeder (University of the Pacific) and Amir Zeldes (Georgetown University).

Contact us! Send an email to contact@copticscriptorium.org or add an issue to one of our repositories on GitHub.

A project bibliography is available at Zotero.

(Text by the organizers)

Link

https://copticscriptorium.org/

CNRS

Les mots de la paix

Description et organisation

Ce programme de recherche international en lexicographie historique  a pour ambition d’explorer le champ lexical de la paix dans plusieurs cultures de la Méditerranée orientale et de l’Orient pour l’Antiquité et le Moyen-Âge.

La paix, peut être entendue comme l’harmonie entre les peuples, ou la bonne entente entre les citoyens d’une ville ou d’un pays, ou bien la paix avec soi-même, soit un état de bien-être intérieur, voire un état atteint dans le cadre d’une démarche spirituelle.

Mais cette définition peut ne pas être celle de certaines cultures où les référents seront autres. Ainsi, en arabe, à l’époque médiévale, il y a peu de mot pour exprimer l’entente irénique avec l’Autre. En revanche, les notions comme l’arrêt de la guerre, le pacte, la conciliation offrent un vocabulaire très riche.

Autrement dit, nous ne travaillons pas sur un mot, mais sur un champ lexical, celui des relations non guerrières avec l’autre ou, éventuellement, avec soi.

Ces études de lexicographie historique portent sur des textes écrits en sumérien, akkadien, ougaritique, nabatéen, langues sudarabiques épigraphiques, en égyptien ancien, hébreu, copte, arabe, turc ottoman, persan, latin, grec, dans les langues de l’Anatolie hittite, en mongol, arménien, hindi, malay, sanscrit, chinois.

Les chercheurs de l’équipe examinent des textes inscrits sur différents supports (tablettes, inscriptions, papyrus, parchemin, papier…), dans divers genres littéraires (documents officiels, correspondances privées, textes littéraires ou religieux…), dans leurs co-textes (qualificatifs et déterminants laudatifs ou péjoratifs) et dans leurs contextes sociaux et historiques. Ceci pour rendre compte, sur la longue durée, des référents et des conceptions du champ lexical de la paix dans différentes épistémès.

Ces travaux donneront lieu à plusieurs ouvrages.

(Texte des organisateurs)

Lien

https://www.islam-medieval.cnrs.fr/MotsDeLaPaix/index.php/fr/