EPHE

Lexicon of Greek Personal Names

Description et organisation

Les 8 volumes du Lexicon of Greek Personal Names aujourd’hui parus enregistrent toutes les personnes connues en Grèce continentale et insulaire, en Asie Mineure et jusque dans les marges du monde grec, du début de l’époque alphabétique à la fin de l’Antiquité. Plus de 400 000 individus ont été à ce jour identifiés portant environ 40 000 noms différents, dont seule une faible proportion (estimée à environ 10%) n’est pas d’origine grecque. Pour chaque individu identifié, sont fournis — à la fois dans les volumes imprimés et en ligne — les informations suivantes : genre, cité d’origine, date d’attestation et référence de la source.

Dans ce cadre, le projet LGPN-Ling, lancé en octobre 2015, a pour objectif de doter le LGPN de sa contrepartie linguistique. Ce projet est double :

  1. Procurer son indispensable complément sémantique à la Database du LGPN, restructurée pour permettre notamment une telle extension;
  2. Extraire un dictionnaire imprimé (Minon et alii, Lexonyme, Genève, Droz, 2023), destiné à remplacer l’ouvrage centenaire de Friedrich Bechtel : Die historischen Personennamen des Griechischen bis zur Kaiserzeit (1917, ci-après HPN).

Il s’agit en effet d’offrir l’explication du sens des anthroponymes grecs, qui n’a jamais été entreprise jusqu’à présent, sinon de façon sporadique et non argumentée dans l’ouvrage dépassé de W. Pape-G. E. Benseler, Wörterbuch der griechischen Eigennamen (1870, ci-après PB), et, pour les noms connus par les papyrus, sans argument non plus, dans la database en ligne Trismegistos.

Link

https://lgpn-ling.huma-num.fr/about.html

CNRS / PSL

Atelier DIGIT-HUM 2022

Ouvrir les données de la recherche sur

les sociétés contemporaines 

 

Description et organisation

Le CAPHÉS, AOROC, le Centre Maurice Halbwachs et l’EUR Translitterae organisent la journée d’études « Ouvrir les données de la recherche sur les sociétés contemporaines », le jeudi 13 octobre à l’École normale supérieure (45 rue d’Ulm, Paris). Elle s’inscrit dans le cycle des Ateliers Digit_Hum qui explorent depuis 8 ans, selon une thématique choisie, les pratiques et outils développés en humanités numériques.

« Aussi ouvert que possible, aussi fermé que nécessaire ». Le mouvement d’ouverture des données de la science, porté par des convictions scientifiques (la science comme bien commun) et éthiques (lutte contre le plagiat, lutte contre les fraudes scientifiques), se heurte aujourd’hui à plusieurs questions difficiles : cultures scientifiques incompatibles ou impérialistes, relations de pouvoir entre observateurs et observés, crainte de la bureaucratisation liée aux réglementations, risque de routinisation de la recherche scientifique. On fera ici le pari que l’anthropologie sociale, du fait même de sa douloureuse histoire (dénonciation ou participation à des génocides, complicités dans l’exploitation des ressources et la destruction de l’environnement, liens supposés avec les impérialismes et les colonialismes, enjeux identitaires et luttes autour des frontières nationales), peut aider à clarifier les enjeux pédagogiques et épistémologiques du rapport aux données confidentielles, marchandisées, publiques et de la construction des métadonnées. Comment surmonter la tension entre l’exigence de transparence et de reproductibilité des données de la recherche et l’exigence de protection des données personnelles, qui concerne à la fois l’enquêteur et l’enquêté ?

Contact

Merci de vous inscrire en répondant à ce sondage. Pour toute question, n’hésitez pas à nous contacter par mail à l’adresse digit_hum@ens.fr.

Lien

https://odhn.ens.psl.eu/newsroom/atelier-digit-hum-2022-ouvrir-les-donnees-de-la-recherche-sur-les-societes-contemporaines

EMAN

La première édition des Journées EMAN

 

Description et organisation

Les 28 et 29 janvier 2021, aura lieu la première édition des « Journées EMAN », plate-forme collaborative multi-modale d’Édition de Manuscrits et d’Archives Numériques. Après 5 ans d’existence, la communauté EMAN souhaite présenter à la communauté des SHS de premières réflexions et retours d’expériences consacrés à l’édition numérique de corpus.

Début 2021, EMAN fédère plus d’une quarantaine de projets d’édition numérique de corpus et plus de 200 utilisateurs, faisant interagir des bibliothécaires, ingénieurs, chercheurs et enseignants-chercheurs,doctorants, ou encore des membres de sociétés savantes désireuses de faire connaître et d’analyser des corpus inexplorés. La plate-forme exploite les potentialités du logiciel Omeka-classic en proposant des développements informatiques qui renouvellent les usages d’une bibliothèque numérique. Elle propose aujourd’hui la gestion, l’éditorialisation et la valorisation de corpus manuscrits et imprimés, de documents iconographiques et s’ouvre au traitement des données audiovisuelles. Elle accompagne enfin des étudiants et de jeunes chercheurs qui s’initient à la gestion de corpus complexes et à l’édition numérique de textes.

Ces journées seront l’occasion pour la communauté EMAN de revenir sur ses positionnements en matière d’éditorialisation numérique de documents, de traitement de corpus complexes, en invitant à interroger de manière plus générale les lignes de continuité et de résistance entre plate-forme générique et objectifs scientifiques individuels, entre recherche, édition et pédagogie.

Le programme est consultable sur le carnet de recherche de la plate-forme : Présentation des journées EMAN 2021

Pour assister à ces journées, envoyez un mail à eman@item-cnrs.fr : vous recevrez alors les codes d’accès pour vous connecter à la visioconférence.

Contact

Richard Walter

UMR7172 – Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité (THALIM)

CNRS – Ecole normale supérieure – Université Sorbonne nouvelle

Thalim, Université Sorbonne nouvelle, Centre Censier

Salle 430, 13 rue Santeuil – 75005 PARIS

richard.walter@ens.fr

eman@item-cnrs.fr

Thalim : www.thalim.cnrs.fr

EMAN : www.eman-archives.org

Blog : eman.hypotheses.org

(Texte des organisateurs)

Lien

https://eman-archives.org/EMAN/journees-eman_2021

Huma-num

10 ans de corpus d’auteurs

 

Description et organisation

Le consortium « Corpus d’auteurs pour les humanités : informatisation, édition, recherche » (CAHIER) de la TGIR Huma-Num a dix ans et pour célébrer cet évènement, il souhaite réunir l’ensemble de ses membres mais également des représentants d’autres projets et initiatives numériques en France et ailleurs, pour une rencontre sur les nouveaux savoirs produits dans le domaine des sciences du texte grâce aux corpus numériques et aux bases de données. Plutôt qu’un bilan d’une décennie du consortium, ce colloque veut être un espace de dialogue entre les différents spécialistes des corpus d’auteurs sur les résultats de l’exploration de ces ressources après leur constitution, gestion, publication et pérennisation, ou après la création de nouvelles applications ou plateformes.

Vos propositions sont attendues à partir du 26-10-2020. L’appel à communications, les modalités de dépôt et d’inscription sont présentées sur le site du colloque : https://cahier10.sciencesconf.org/.
Le colloque sera organisé (pour la partie présentielle) à Bordeaux, du 07 au 10 juin 2021.

Contact

cahier10@sciencesconf.org

(Texte des organisateurs)

Lien

https://humanum.hypotheses.org/6254

Laboratório em Rede de Humanidades Digitais – LARHUD

I Jornada Nacional de Humanidades Digitais

 

Descrição e organização

As Humanidades Digitais apoiam-se no conjunto dos paradigmas, savoir-faire, técnicas e métodos, além de saberes próprios do conjunto das disciplinas de Ciências Humanas e Sociais, Artes e Letras, mobilizando-os simultaneamente aos instrumentos e interações tão singulares do mundo digital.

Por compartilhar de características interdisciplinares, transdisciplinares e multidisciplinares, as Humanidades Digitais abordam objetos de pesquisa que permeiam diversas áreas do conhecimento anteriormente compreendido como restrito às Humanidades tradicionais através de métodos, dispositivos e perspectivas heurísticas ligadas ao digital.

Visando a troca de experiências dessa crescente comunidade de práticas, o Laboratório em Rede de Humanidades Digitais – LARHUD realizará na terça-feira, 13 de outubro de 2020, a I Jornada Nacional de Humanidades Digitais, evento 100% gratuito e virtual que será transmitido pelo seu canal no YouTube (Link: https://bit.ly/3mUTfzm).

Programação

Abertura: Ricardo M. Pimenta (IBICT; PPGCI/IBICT-UFRJ)

Representante IBICT: Gustavo Saldanha (IBICT; PPGCI/IBICT-UFRJ)

10h-12h Mesa “Humanidades Digitais e a Ciência da Informação”

Mediação: Renan Castro (FGV; LARHUD)

Palestrantes:

Edgar Bisset Alvarez (UFSC)

Moisés Rockembach (UFRGS)

Monica Gallotti (UFRN)

Májory Karoline Miranda (UFPE)

14h-16h Mesa “The Programming Historian”

Mediação: Márcia Cavalcanti (USU; LARHUD)

Palestrantes:

Joshua Ortiz Baco (Programming Historian)

Daniel Alves (NOVA-FCSH; DHLab)

Jimmy Medeiros (FGV)

Luis Ferla (UNIFESP)

16h-18h Mesa “Interdisciplinaridade nas Humanidades Digitais”

Mediação: Ricardo M. Pimenta (IBICT; PPGCI/IBICT-UFRJ)

Palestrantes:

Leonardo Fernandes Nascimento (UFBA)

Danielle Sanches de Almeida (NOVA-FCSH; FGV)

Lucas Carvalho (UFF)

Antonio Brasil Jr. (IFCS/UFRJ)

Thiago Lima Nicodemo (UNICAMP)

Faça sua inscrição no Sympla: https://bit.ly/30oSnZW

Contamos com a sua presença!

Detalhes do evento:

Dia(s): 13 out, 2020

Horário: 10h00 – 18h00

Local (Online): https://bit.ly/3mUTfzm

Inscrição:

A confirmação da inscrição é de responsabilidade do organizador do evento.

Valor: Gratuito

Período de inscrição: 10/06/2020

Contato

Instituição responsável: IBICT/UFRJ

Email do organizador: larhud.evento@gmail.com

Telefone de contato: (21) 2191-1901

(Texto dos organizadores)

Link

https://eventos.ufrj.br/evento/i-jornada-nacional-de-humanidades-digitais/

Humanistica

COLLOQUE HUMANISTICA 2020

Premier colloque de l’association francophone des humanités numériques

Description et organisation

À l’heure où les humanités numériques connaissent un tournant décisif tant sur le plan quantitatif que qualitatif, Humanistica, l’association francophone des humanités numériques créée en 2014, organise son premier colloque. Elle invite ainsi la communauté scientifique à interroger ses résultats et ses méthodes de recherche, ses usages de l’informatique, ses objets traditionnels ou nouveaux, pour mesurer le chemin parcouru et s’engager dans une nouvelle décennie de développement.

En 2010, le Manifeste des Digital Humanities répondait au constat de Milad Doueihi concernant la « conversion numérique en cours » et appelait à la consolidation du domaine. Dix ans plus tard, une transdiscipline a-t-elle émergé ? L’omniprésence de l’expression « humanités numériques » est-elle trompeuse ou témoigne-t-elle d’une prise en compte d’un tournant méthodologique, épistémologique et culturel pris par la recherche en sciences humaines ? Sommes-nous en train d’inventer ou de nous adapter ?

Humanistica suggère aux participants du colloque de répondre à ces différentes questions du point de vue de leurs résultats scientifiques et de leur expérience pédagogique. Trois axes, que nous donnons à titre indicatif, peuvent guider la réflexion :

Enseignement et formation à la recherche

L’université forme par la recherche et à la recherche. Les humanités numériques semblent ouvrir des possibilités de formation plus précoce grâce à l’intégration au sein de projets qui permettent de se confronter aux documents et aux corpus. Les étudiants réalisent ainsi des tâches de transcription, d’encodage mais aussi de valorisation, de médiation et de communication autour de leurs travaux. Cette relation entre enseignement et recherche paraît essentielle non seulement pour susciter des vocations mais également pour offrir des pistes de développement dans les années à venir, en relation avec le monde professionnel.

> Le colloque est intéressé par vos expériences et vos expérimentations touchant ce lien entre recherche et enseignement, que ce soit au niveau de la licence ou du master, ainsi que dans le secondaire.

Infrastructures et outils

Les humanités numériques francophones ont été particulièrement actives depuis vingt ans dans la création d’infrastructures exemplaires. Qu’elles soient dédiées à la publication, à la diffusion des résultats de la recherche scientifique en accès libre, au développement de services et d’outils gérant le cycle de vie des données, ces infrastructures transversales ont contribué à transformer notre milieu de travail – mais de quelle façon et avec quel succès ? Le terrain est-il prêt pour que les sciences humaines entrent davantage dans l’ère numérique ?

> Le colloque attend vos retours d’expériences en matière de projets d’infrastructures, d’utilisation des services, de besoins encore à satisfaire.

Sciences humaines et résultats

Alors que la numérisation de la société transforme les emplois et les carrières dans de nombreux secteurs professionnels, les métiers de la science n’échappent pas à ces évolutions. De nouveaux besoins, en termes de services notamment, changent la façon de faire des humanités à l’époque de la science ouverte. Quels sont exactement ces nouveaux besoins ? Comment influencent-ils la conduite de la recherche ? Qu’appelle-t-on dorénavant « résultats » de la recherche en sciences humaines, notamment lorsqu’elle est financée selon des critères en évolution ? S’agit-il d’exposer le processus de collecte des données ? D’adopter une approche expérimentale ? De rendre transparente la méthode mise en œuvre ? De tout cela à la fois ? Qu’est-ce que la reproductibilité des travaux dans les sciences humaines ? Que signifie, en outre, « passer à l’échelle » dans nos disciplines ?

> Le colloque attend des réflexions issues de votre recherche et de vos pratiques.

Programme

Seront acceptées des communications sur des travaux achevés ou en cours, des présentations d’outils ou de prototypes et des réflexions sur les sources utilisées dans un cadre académique ou pédagogique (archives, corpus, enquêtes, données), qu’il s’agisse de rendre opérationnelles ou de redéfinir nos catégories d’analyse. À moins qu’elles ne comportent explicitement une dimension réflexive ou méthodologique, les présentations de projets, infrastructures ou institutions privilégieront le format du poster.

Les propositions de contribution prendront les formes suivantes :

Communications de 20 minutes, qui seront ensuite organisées en sessions thématiques. Les propositions de communications se présenteront sous la forme d’un texte de 250 à 500 mots, références non comprises.

Posters, que les auteurs seront invités à présenter en 3 minutes durant une session d’interventions éclair (poster slam). Les propositions de posters se présenteront sous la forme d’un texte de 250 à 500 mots, références non comprises.

Les propositions devront être soumises sur la plateforme du colloque le 15 janvier 2020 au plus tard. Les réponses (acceptation ou refus) seront envoyées au terme d’une évaluation en simple aveugle, au plus tard le 15 février 2020.

Des articles découlant des communications pourront être soumis à la http://www.humanisti.ca/revuehttp://www.humanisti.ca/revue, dont les numéros 1 et 2 paraîtront en 2020.

En février 2020 sera diffusé un appel spécifique concernant les formes suivantes :

Ateliers de formation ou de groupes de travail, qui prendront place le jour qui précède le colloque, c’est-à-dire le 12 mai 2020.

Tables rondes dont l’objectif est d’offrir la possibilité de proposer en amont du colloque des sujets de discussion, à propos de méthodes de recherche, de questions pédagogiques ou de débats. Un document collaboratif permettra aux propositions de se rejoindre et former des panels destinés à s’auto-organiser en vue du colloque.

IUT BORDEAUX MONTAIGNE

Le colloque se tient à l’IUT Bordeaux Montaigne du 13 au 14 mai 2020, après une journée d’ateliers le 12 mai.

Contact
Université Bordeaux Montaigne

Institut universitaire de technologie Bordeaux Montaigne

1 rue Jacques Ellul

33800 Bordeaux

humanistica2020@sciencesconf.org

(Texte des organisateurs)

Paris Sciences et Lettres

Corpus numériques et scénarios de recherche

Description et organisation

Le séminaire « Corpus numériques et scénarios de recherche » entend questionner l’adaptabilité des données de la recherche aux mutations de l’environnement numérique, en interrogeant la circulation des données entre interfaces et logiciels. Chacune des séances comprendra une présentation qui traitera de l’un des grands enjeux de la gestion de projet numérique. Celle-ci sera suivie d’un temps d’échanges entre intervenant, porteurs de projets, spécialistes des données numériques mais aussi chercheurs et doctorants désireux d’enrichir leur culture numérique.
Le séminaire est présenté dans le document PDF joint et sur le site du carnet de recherche EMAN (eman.hypotheses.org/2341)

Programme

Jeudi 10 octobre 2019, 15h-17h – Charlotte Dessaint (Bibliothèque Lettres de l’Ens),
« Formats, standards, référentiels : choix de départ »

Jeudi 7 novembre 2019, 15h-17h – Emmanuelle Bernès (BnF),
« Standards et référentiels : quels scénarios pour la recherche ? »

Jeudi 5 décembre 2019, 15h-17h – Richard Walter (ITEM),
« Arbres, cartes, indexation, mots-clés : quels cheminements dans les corpus ? »

Jeudi 9 janvier 2020, 15h-17h – Bruno Baudoin (Laboratoire Camille Jullian, Aix-en-Provence),
« Des archives et des images en ligne : structuration des données et métadonnées »

Jeudi 27 février 2020, 15h-17h – Cécile Meynard (Université d’Angers, laboratoire CIRPaLL),
« Partage d’expérience de transcription de manuscrits en ligne : Stendhal et Benoîte Groult »

Jeudi 23 avril 2020, 15h-17h – Table ronde organisée par Anne Réach-Ngô,
« Exploiter et/ou publier les données des écrits littéraires de la Première Modernité : bases de données et bibliothèques numériques, quels enjeux pour l’investigation de corpus ? »

Jeudi 28 mai 2020, 15h-17h – Table ronde organisée par Luc Vigier,
« Spécificités des problématiques scientifiques et de la gestion de projet sur les corpus littéraires de l’Extrême Modernité »

Le séminaire « Corpus numériques et scénarios de recherche » a lieu à l’ITEM, salle de conférence ou salle 159, CNRS, 59/61, rue Pouchet, 75017 Paris (www.pouchet.cnrs.fr/plan.htm).

Ce séminaire s’inscrit dans les travaux et réflexions de la communauté EMAN, plate-forme de publication des manuscrits. Pour des informations sur EMAN, voir le site de présentation : eman-archives.org.

Le séminaire (15h-17h) est précédé des rencontres de l’atelier d’édition numérique (9h30- 15h) de l’équipe «Joyeuses Inventions» qui travaille à la publication d’un ensemble de recueils collectifs de poésies du XVIe siècle, dans le cadre d’un projet plus vaste de réinvestigation des ouvrages recensés par Frédéric Lachèvre dans sa Bibliographie recueils collectifs de poésies du XVIe siècle.  Voir rouealivres.hypotheses.org/lachevre-numerique-xvi.

Contact

Anne Réach-Ngô, Luc Vigier et Richard Walter

(Texte des organisateurs)

Lien

http://www.item.ens.fr/corpus-numeriques-et-scenarios-de-recherche/

Max Planck Institute for the History of Science

Digital Humanities and Classical Studies: Prospects and Challenges

Description et organisation

There is a rich history within Classics for the use of digital humanities (DH) and computational methods. There is also a healthy amount of skepticism by some in the field who maintain that there is a fundamental division between technology and tradition. It is necessary to address the nature of this conceptual boundary and its attendant concerns. Why have some in Classics resisted digital tools and methods? Can DH adversely impact how scholars are trained in critical skills like translation? We must also ask, what is the future of the field and how do we ensure its survival in an academic environment that sees the humanities often struggling to define their purpose? As we in Classical Studies continue the common practice of drawing a number of different kinds of sources around our particular research questions, how can we usefully incorporate digital tools into our practice? What are the potential benefits of DH in Classical Studies and what can advances in technology bring to our analyses of texts, corpora, and networks?

It is also crucial for scholars working at the intersection of classics and DH to go “beyond the database”—i.e., to get past the creation (and recreation) of endless database projects and actually investigate how the application of data collection/management can be used to advance scholarship and influence pedagogy. What can database or “distant reading” approaches tell us about our materials that traditional close reading cannot? How can databases be used to better collate and disseminate scholarly knowledge, or discern large-scale patterns in the historical record?

Participants in the workshop will discuss promising results to date and plans for the immediate future, as well as discuss prospects for collaboration or integration of efforts.

EDWARD SLINGERLAND (UNIVERSITY OF BRITISH COLUMBIA)

WILLIS MONROE (UNIVERSITY OF BRITISH COLUMBIA)

ROBYN FAITH WALSH (UNIVERSITY OF MIAMI)

SHIH-PEI CHEN

DAGMAR SCHÄFER

Contact

Max-Planck-Institut für Wissenschaftsgeschichte, Boltzmannstraße 22, 14195 Berlin, Germany

Please register for this event at: HTTPS://GOO.GL/FORMS/WJOYV1TGHWILD0HD2.

(Texte des organisateurs)

Lien

https://www.mpiwg-berlin.mpg.de/event/digital-humanities-and-classical-studies-prospects-and-challenges

Montpellier (Université Paul-Valéry)

“Interroger le texte à l’ère de l’“intelligence mécanique” 

la stylistique outillée, au carrefour du disciplinaire et de l’interdisciplinaire”

 

Description et organisation

« Je me souviens de l’étonnement où je fus plongé, il y a deux ou trois ans, lorsque des Américains, dans la maison desquels je fréquentais, me parlèrent pour la première fois de « laboratoires de philologie », de « manipulations de textes », d’ »ateliers de psychologie ». […] Je compris que les sciences, les arts, les lettres et la poésie elle-même, tout cela se ferait désormais à la machine.

J’admirai une fois de plus combien les humains sont industrieux et je souhaitai une occasion d’apprendre le maniement d’une de ces intelligences mécaniques au prix desquelles mon cerveau ne me paraissait plus qu’un joujou inutile. » (G. Apollinaire, « La Sorbonne est ébranlée », L’Intransigeant, 5 avril 1911)

Appel à communications

Le développement de projets pluri- et interdisciplinaires en Humanités numériques et l’importance des sources littéraires mises à disposition par la numérisation massive d’archives invitent, ces dernières années, à interroger les méthodes de leur exploration outillée. Les éditions numériques enrichies, l’annotation variée, collective et interopérable des ressources littéraires posent en particulier la question de leur spécificité auctoriale et générique lorsqu’elles sont préparées et interrogées dans un environnement numérique. Ainsi, les “données textuelles” extraites d’oeuvres littéraires et analysées par divers outils numériques (lexico- ou textométrie, calculs statistiques,  méthodes de plongement lexical) demandent en effet à être singularisées et reconnues dans leur spécificité intentionnelle et stylistique (Garric et Maurel-Indart, 2010 et 2011). Leurs caractéristiques propres (leur textualité et leur dimension discursive par exemple) doivent alors être prises en compte dans leur étude (notamment quantitative) et confrontées à d’autres analyses qualitatives.

Progressant dans le sens d’une « reconquête de l’expression » (Rastier, 2011), l’enrichissement informatique du texte ouvre la voie à de nouveaux objets d’étude, de nouveaux faits observables et, par conséquent, à une théorie à construire. C’est dans cette perspective qu’émergent de nouvelles disciplines, comme la “stylistique outillée”, dans le sillage de la linguistique de corpus (Williams, 2005), de l’analyse du discours (Maingueneau et Amossy, 2003, Adam et Heidmann,  2005) et de l’analyse lexico- et textométrique (Lebart et Salem, 1994, Pincemin, 2008, Brunet, 2009, Ablali et Kastberg-Sjöblom, 2010).

Cet héritage influence les définitions de cette “stylistique outillée”, ainsi nommée depuis quelques années seulement, qui articule aujourd’hui l’analyse computationnelle et statistique du style (reconnaissance de patterns, attribution d’auteurs, etc.) et sa modélisation au regard des langues, des genres et des périodes considérés. Or on constate que si la linguistique de corpus et l’analyse statistique de textes (littéraires ou non) se sont implantées depuis longtemps dans le champ des études linguistiques, la stylistique outillée reste parfois en marge des “sciences de la culture” et occupe une place assez timide au sein des études stylistiques dont elle adapte les unités d’analyse et la méthode d’exploration des textes.

La méthodologie développée par ce type d’approches outillées engage en effet à des redéfinitions pragmatiques de la notion de style (Herrmann et al., 2015) en y intégrant une dimension contrastive et empirique. L’ancrage de la stylistique outillée dans des travaux inter et pluridisciplinaires semble considérablement influencer non seulement ses objets d’études, mais aussi la conception de son corpus et sa manière de rendre visibles et lisibles ses observables (Jacquot, 2016).

Dans la continuité d’autres conférences internationales qui appelaient à communiquer sur les avancées en “stylistique outillée” (“Machiner la poésie”, “CfP: Digital Stylistics in Romance Studies and Beyond”, “Colloque International PhraseoRom”, par exemple), ce colloque s’articulera autour de deux axes de réflexion :

  • Le premier axe interrogera l’aspect outillé de cette discipline et appelle à proposer des retours d’expériences :
    • La stylistique outillée propose-t-elle seulement une méthode d’analyse des textes ou est-elle susceptible d’acquérir davantage de légitimité conceptuelle et épistémologique ? Dans ce cas, comment articuler ces deux dimensions ? Quelles en sont les conséquences pour un travail inter- et pluridisciplinaire (linguistique, stylistique, littéraire, sociologique, anthropologique…) ?
    • Comment résoudre d’un point de vue méthodologique les problèmes posés par une modélisation textuelle (au niveau des unités structurelles, par exemple) pour confronter les genres et les langues ? Comment les solutions trouvées sont-elles “négociées” et harmonisées ?
    • Comment définir une annotation stylistique ? Comment ménager une annotation “stratifiée” (c’est-à-dire une annotation qui intervient à différents niveaux de l’analyse textuelle et linguistique) ? Quelles sont les techniques automatisées existantes sur lesquelles la stylistique outillée peut se fonder (annotations sémantiques, enrichissement par plongement lexical, etc.) ? Quelle place lui donner dans un projet inter- ou pluridisciplinaire ?
  • Le second axe s’attachera à questionner les apports de la stylistique outillée dans le cadre d’analyses contrastives :
    • Que peut-on chercher à comparer ? Dans quelle mesure ce travail de confrontation contribue-t-il à définir les contours de cette discipline (Underwood, 2014) ?
    • Quelles sont les techniques d’extraction de données et de visualisation utilisées en stylistique outillée au regard des problèmes spécifiques posés par la dimension contrastive de l’analyse stylistique ? En quoi s’inspirent-elles de l’existant (key-words, clustering, AFC) ?
    • Comment ces changements méthodologiques et pratiques modifient-ils la manière d’interpréter les textes ? Comment les dimensions outillée et/ou contrastive contribuent-elles à la faciliter et à la complexifier ? Peut-on parler de “complémentarité” d’approches ?

Les questions proposées ici ne sont évidemment pas exhaustives. Les communications pourront porter sur des corpus en français ou d’autres langues ou sur des corpus contrastifs (langues, genres, auteurs différents). Cette conférence invite tout particulièrement les chercheuses et chercheurs participant à des projets qui intègrent la stylistique outillée ou qui travailleraient à construire leurs propres outils d’analyse à venir présenter leur expérience.

Références bibliographiques indicatives

  • Ablali D. et Kastberg-Sjöblom M. (dir.), Linguistique et littérature : Cluny, 40 ans après, Besançon, Presses Universitaires de Franche-Comté, 2010.
  • Adam J-M., Linguistique textuelle. Des genres de discours aux textes. Paris, Nathan, 2004.
  • Adam J-M. et Heidmann U, Sciences du texte et analyse de discours, Genève, Editions Slatkine, 2005.
  • Biber, D et Conrad, S., Register, Genre, and Style. Cambridge, UK; New York, Cambridge University Press, 2009.
  • Brunet E., Comptes d’auteurs. Vol. 1 : Etudes statistiques de Rabelais à Gracq, Paris, H. Champion, 2009.
  • Burrows, J., “‘Delta’: A Measure of Stylistic Difference and a Guide to Likely Authorship.”, in : Literary and Linguistic Computing, 17/3, 2009, p. 267-87. URL :  https://doi.org/10.1093/llc/17.3.267
  • Garric, N. et Maurel-Indart, H. (dir.), Vers une automatisation de l’analyse textuelle, in Texto !, [En ligne], Volumes XV – no 4 (2010) et XVI – no 1 (2011)
  • Guiraud, P., Les Caractères statistiques du vocabulaire, Paris, Presses Universitaires de France, 1954
  • Guyot, A. (2006), « Stylèmes et corpus génériques : un essai de confrontation au service de la stylistique des genres », Corpus, n°5, décembre 2006, en ligne, http://corpus.revues.org/index472.html
  • Herrmann, J. B., Schöch, C. et van Dalen-Oskam, K., “Revisiting Style, a Key Concept in Literary Studies”, in : Journal of Literary Theory, 9/1, 2015, p. 25-52.
  • Jacquot, C., “Rêve d’une épiphanie du style : visibilité et saillance en stylistique et en stylométrie”, in : Revue d’histoire littéraire de la France n°3, 2016, p. 619-670
  • Lebart L. et Salem A., Statistique textuelle, Paris, Dunod, 1994.
  • Leech, G. N., et Short, M., Style in Fiction: A Linguistic Introduction to English Fictional Prose. London ; New York, Longman, 2007.
  • Magri-Mourgues, V. (dir.), Corpus, 5 “Corpus et stylistique”, 2006.
  • Mahlberg, M. Corpus Stylistics and Dickens’s Fiction. London, Routledge, 2013.
  • Maingueneau D. et Amossy R. (dir.), L’Analyse du discours dans les études littéraires, Toulouse, Presses Universitaires du Mirail, 2003.
  • Malrieu, D. & Rastier, F. (2001), « Genres et variations morphosyntaxiques », Traitement automatique des langues, vol. 42, n°2, pp. 548-577.
  • Molinié G. et Cahné P. (éds.), Qu’est-ce que le style ?, Paris, P.U.F, 1994.
  • Pincemin, B., « Modélisation textométrique des textes », JADT 2008, 9èmes Journées internationales d’Analyse statistique des Données Textuelles. Mar 2008, Lyon, France. Presses Universitaires de Lyon, 2, p.949-960, 2008.
  • Rastier François. Arts et Sciences du texte, Paris, Presses Universitaires de France, 2001.
  • Rastier, François. La Mesure et le grain, Paris, Presses Universitaires de France, 2011.
  • Schöch, C., “Topic Modeling Genre: An Exploration of French Classical and Enlightenment Drama.” in : Digital Humanities Quarterly, 11/2 [en ligne], 2017. URL : http://www.digitalhumanities.org/dhq/vol/11/2/000291/000291.html.
  • Underwood, T., “Understanding Genre in a Collection of a Million Volumes, Interim Report.” [en ligne], 2014.
  • Viprey, Jean-Marie. « Morneille, Colière et messieurs Labbé » [en ligne] URL : http://elliadd.univ-fcomte.fr/archives_laseldi/document/affaireMorneilleColiere/morneille.htm 2003.

Programme

Jour 1 – Mardi 11 juin 2019 – Auditorium

9h00 accueil des participants du colloque

9h30-12h30

  • 9h30-10h15 1 Conférencier invité
    Christof Schöch (Trier Universität) Repeating and Repeatable: Digital Literary Studies between Past and Future

  • 10h30-11h pause café

  • 11h00-12h30 1ère session (20′ + questions)

    • 11h00-11h30 Margherita Fantoli (Université de Liège) — Choix du corpus : actualité d’une question ancienne. Le cas de l’Histoire Naturelle de Pline

    • 11h30-12h00 Johan de Joode (Catholic University of Leuven) — The Identification of Genres and their Characteristics in Ancient Literary Texts: A Digital Stylistic Approach

    • 12h00-12h30 Céline Roussel (Université Paris-Sorbonne – Paris IV. Centre de Recherche en Littérature Comparée) — Fouiller le « non-visuel » grâce à la stylistique outillée : du style aveugle à l’histoire du sensible

Pause déjeuner

14h30-18h

  • 14h30-15h45 1 Session poster

    • Paul Fièvre (Université Paris-Sorbonne – Paris IV. Projet Molière) — Théâtre classique – Dix ans d’une expérience opérationnelle en humanités numériques

    • Antonio Pascucci, Jacopo Colombo, Vincenzo Masucci, Johanna Monti (« L’Orientale » University of Naples UNIOR NLP Research Group / Expert System Corp) — Computational Stylometry for Reputation of Medical Texts

    • Véronique Duché (The University of Melbourne) — Explorer les journaux de tranchées

    • Sascha Diwersy (Université Paul-Valéry Montpellier 3. Praxiling) — Présentation de la plateforme PhraséoRom

    • Francesca Frontini (Université Paul-Valéry Montpellier 3. Praxiling) — L’infrastructure CLARIN pour les ressources linguistiques et les outils pour l’analyse textuelle stylistique

  • 15h45-16h00 pause café

  • 16h00- 17h30 3e Session (20′ + questions)

    • 16h00-16h30 Souad El Fellah (Université Paul-Valéry Montpellier 3. Praxiling) — Automatiser les figures de style: du dilemme de l’outil au choix de l’annotation appropriée

    • 16h30-17h00 Suzanne Mpouli (Université Paris 3, Université Paris 7. Histoire des Théories Linguistiques) — Annotating similes for stylistic purposes

    • 17h00-17h30 Ouafae Benzina (Université Moulay Ismail de Meknès) — Vocabulaire romanesque de Guy de Maupassant à l’épreuve de ‘‘l’intelligence mécanique »

Jour 2 – Mercredi 12 juin 2019 – Salle Kouros

9h30-12h30

  • 9h30-10h15 Conférencière invitée
    Berenike Herrmann (Basel Universität) What is Your Style? On Linear and Non-linear Modes of Reading in Digital Literary Stylistics

  • 10h30-11h pause café

  • 11h00-12h30 4e Session (20′ + questions)

    • 11h00-11h30 Marie-Christine Lala (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3. CLESTHIA) — Le motif à la croisée de disciplines. Quels enjeux pour la stylistique outillée ?

    • 11h30-12h00 Véronique Magri et Etienne Brunet (Université Nice Sophia Antipolis. Bases, Corpus, Langage) — Intelligence artificielle et stylistique d’auteur. L’exemple de Giono

    • 12h00-12h30 Marc Vandersmissen (Université de Liège – Gembloux) — Les personnages de théâtre ont-ils un style ? Recherche outillée sur un corpus trilingue

Pause déjeuner

14h30- 17h30

  • 14h30-15h15 Conférencière invitée
    Iva Novakova (Université Grenoble Alpes, LIDILEM) — Le projet PhraséoRom : à la croisée de la phraséologie et des genres littéraires

  • 15h30-15h45 Pause

  • 15h45-17h30 5e Session (20′ + questions)

  • 17h10-17h20 Clôture du colloque

Contact

mtpstyl2019@sciencesconf.org

(Texte des organisateurs)

Lien

https://mtpstyl2019.sciencesconf.org/resource/page/id/6

IHRIM (CNRS 5317)

Indexer les corpus numériques

Description et organisation

En effet, la constitution d’index est un véritable enjeu scientifique et technique, pour lequel il existe encore peu de documentation. Les index relèvent, avec l’annotation, de l’exploitation scientifique des textes édités : ils sont des outils de navigation dans le corpus et participent à sa compréhension en identifiant les personnes, les lieux et les œuvres mentionnés, ainsi que les matières traitées. L’exploitation de ces données aide par exemple à visualiser des réseaux de relations. Les référentiels et les notices d’autorités permettent d’uniformiser et de consolider les index grâce à l’emploi d’un vocabulaire contrôlé et de formes normalisées. Ils apportent des solutions au traitement des variantes des patronymes, des toponymes et des titres d’ouvrages. Dans la perspective du Linked Open Data, l’alignement sur des référentiels aide à enrichir les données d’un projet en les complétant avec d’autres ressources et bases de données (data.bnf.fr, IdREF, VIAF, ISNI). Le séminaire, fondé sur le partage d’expériences d’ingénieurs et de chercheurs impliqués dans l’édition de corpus numériques, vise à définir les bonnes pratiques utiles à l’établissement d’index, pour identifier et documenter de manière univoque une notion ou une entité nommée.

Programme

09h15 Accueil

10h00 Ouverture Pratiques des référentiels Présidence de séance Philippe Colantoni (UJM Saint-Étienne, vice-président délégué au numérique)

10h30 François Mistral | ABES, responsable d’IdRef-Autorités | IdRef : une offre de services à destination de la recherche pour enrichir les données et accroître leur interopérabilité.

11h30 Francesco Beretta | CNRS, LARHRA UMR 5190 | Encodage sémantique de textes historiques et référentiels publics : retours d’expériences et perspectives. Indexation et corpus numériques Présidence de séance Thomas LebarBé (Université Grenoble Alpes, coordinateur du Consortium Cahier)

14h00 Emmanuelle Morlock | CNRS, HISOMA UMR 5189 | Indexation et qualification des contenus en TEI : méthodes, outils et exploitations possibles. 15h00 Thierry Joliveau | UJM Saint-Étienne, EVS UMR 5600 | Retrouver, annoter, cartographier et analyser les entités spatiales nommées dans un corpus de romans parisiens.

16h00 Laurent Capelli | CNRS, Huma-Num | Collectes, enrichissements et normalisations sur ISIDORE, la plateforme d’accès aux données numériques des SHS.

Contact

Le séminaire est ouvert à tous, sur inscription à cette adresse : ihrim-seminaire-index@univ-st-etienne.fr

Ce événement a reçu le soutien du Consortium Cahier et de la MSH Lyon-Saint-Etienne.

(Text by the organizers)

Lien

http://ihrim.ens-lyon.fr/evenement/indexer-les-corpus-numeriques