Bréhier, É.
Plotin, Ennéades, t. II (1924)
Preuve de Philon, de incorruptib. mundi, II, 491 Mangey.
Preuve de Philon, de incorruptib. mundi, II, 491 Mangey.
C’est le point capital qui sépare l’hellénisme du christianisme ; voyez Ennéade II, 1 et la notice.
La question de l’immortalité de l’âme reste en somme, chez Plotin comme chez Platon et les stoïciens, une question physique et cosmologique autant qu’une question intéressant la destinée humaine ; les âmes sont les forces…
Le Traité 31 est d’une certaine façon cet hymne inouï au lieu supracéleste que Platon pensait irréalisable. Plotin tente donc ici en quelque sorte l’impossible : dire la perfection du monde intelligible alors même que…
The two options offered at 18-21 are, then, that matter has existed eternally depending for its being, such as it is, on the munificence of the One, or that it is in some way generated…
Les spécialistes inclinent généralement à considérer comme une création originale de Plotin la notion d’éternité intemporelle, en s’appuyant, évidemment, sur le Timée et, en remontant plus loin encore, sur le fr. B 8, 5-6 DK…