Armstrong, A. H.
Plotinus, Enneads II (1966)
From this point to the end of ch. 12 Plotinus is attacking a Gnostic myth known to us best at present in the form it took in the system of Valentinus. The Mother, Sophia Achamoth,…
From this point to the end of ch. 12 Plotinus is attacking a Gnostic myth known to us best at present in the form it took in the system of Valentinus. The Mother, Sophia Achamoth,…
This and similar ideas are common to most kinds of Gnosticism : cp. Irenaeus Adv. Haer. I. 29 (a non-Valentinian system) and Clement of Alexandria, Strom. IV ch. 13, 89) (Valentinus).
Ce traité a, dans ces derniers temps, appelé tout particulièrement l’intérêt des historiens des religions (note 1 : C. Schmidt, Plotins Stellung zum Gnosticismus und kirchlichen Christentum, Leipzig, 1901 ; Bousset, Hauptprobleme der Gnosis. p. 186…
« Exil » et « repentir » s’expliquent par la mythologie des gnostiques. Les « empreintes » doivent être ces caractères magiques, que l’on voit gravés sur une sphère magique d’Athènes (Cf. Delatte, Bullet. Corr. hellénique 1913, p. 173) et dont…
Plotin lui-même admet que l’Intellect contient toutes les Formes et qu’il les transmet à l’Âme en tant que lógoi (principes rationnels). Il souligne ici que ce transfert n’implique pas l’existence d’une entité intermédiaire entre l’Intellect…
Cinquième et dernière suggestion : on peut multiplier les réalités en admettant un intermédiaire entre l’Intellect et l’âme. Plotin a déjà rejeté cette hypothèse aux lignes 32-33, comme il l’avait déjà fait en 10 (V,…
Plotin s’attaque peut-être aux gnostiques, qui distinguent trois natures en l’homme : pneumatique, psychique et hylique (Irénée, Contre les hérésies I, 5, 1 ; 5-6 ; voir aussi Traité tripartite [NHC, I, 5], 118, 14 – 122, 12).…
Le sujet de la phrase n’est pas exprimé. Nous comprenons qu’il s’agit du même sujet qu’à la fin de la phrase précédente, à savoir « ce qui n’a rien en quoi se transformer ». Plotin chercherait alors…
Il s’agit de la génération et de la corruption complète du monde sensible. Une corruption complète est impossible, soutient Plotin, car une substance s’évanouirait alors dans le non-être (12 [II, 4], 6, 4-5). La conflagration finale…