Bréhier, É.
Plotin, Ennéades, t. I (1924)
Idée d’origine épicurienne, qu’on retrouve aussi dans le mysticisme hermétique (J. Carcopino, « Le tombeau de lambiridi et l’hermétisme africain », Revue Archéologique, I, 1922, p. 211-301).
Idée d’origine épicurienne, qu’on retrouve aussi dans le mysticisme hermétique (J. Carcopino, « Le tombeau de lambiridi et l’hermétisme africain », Revue Archéologique, I, 1922, p. 211-301).
Müller, Hermes, LIV, p. 110 compare ce passage à Saint Paul, Hebr., 11, 13.
Le bourbier et, un peu plus loin, la mort de l’âme et le Hadès sont des images des plus ordinaires dans la piété néoplatonicienne ; comp. Philon d’Alex., quis rer. div. heres, 78 ; de…
Il faut ajouter enfin que, dans son exposé, Plotin a souvent en vue les gnostiques, ces hérétiques chrétiens contre qui il avait déjà mené une vive attaque dans le traité qui est le dernier de…
Ce traité est Ennéade II, 9, cité sous un autre titre au chap. 24 ; Plotin n’y a pas nommé les gnostiques en propres termes. La plupart des autorités citées par Porphyre ne sont pour…
Il s’agit ici de la manière dont finit le monde d’après les gnostiques (cf. II, 9), par le repentir du démiurge.
Preuve de Philon, de incorruptib. mundi, II, 491 Mangey.
Cette théorie d’un démiurge qui crée le monde, puis l’abandonne à lui-même, puis le corrige, est sans doute une théorie dos gnostiques qu’a combattus Plotin. Elle a un parallèle frappant dans les idées de Valentin…
Ce traité a, dans ces derniers temps, appelé tout particulièrement l’intérêt des historiens des religions (note 1 : C. Schmidt, Plotins Stellung zum Gnosticismus und kirchlichen Christentum, Leipzig, 1901 ; Bousset, Hauptprobleme der Gnosis. p. 186…
« Exil » et « repentir » s’expliquent par la mythologie des gnostiques. Les « empreintes » doivent être ces caractères magiques, que l’on voit gravés sur une sphère magique d’Athènes (Cf. Delatte, Bullet. Corr. hellénique 1913, p. 173) et dont…