Bréhier, É.
Plotin, Ennéades, t. V (1931)
Indication fort importante sur la nature du mysticisme de Plotin ; elle l’oppose d’une manière nette à un néoplatonisme tel que celui d’Apulée et surtout au gnosticisme qui multiplie les intermédiaires (cf. Enn. II, 9).